S’informer sur les maisons de retraite à Uccle

maisons de retraite

Envisager de déménager dans une maison de retraite n’est généralement pas facile pour les personnes âgées. Lorsque le soutien de la famille n’est plus possible, ou que les personnes âgées souhaitent un soutien pour des raisons personnelles ou environnementales de sécurité ou de santé, envisagez de déménager dans une nouvelle maison, un nouveau lieu de résidence, éventuellement une maison de retraite. Plutôt que d’attendre une urgence pour considérer le problème, anticipez cette possibilité. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur les maisons de retraite à Uccle.

Qu’est-ce qu’une maison de retraite ?

Les EHPAD sont des logements collectifs qui offrent un ensemble de services comprenant l’hébergement, la restauration, divers services spécifiques comme la blanchisserie, l’hygiène et le médical, selon les personnes, l’animation. Les maisons de retraite à Uccle sont de nouvelles résidences pour personnes âgées. Les EHPAD qui accueillent des personnes valides ou semi valides sont désormais appelés Ehpa (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées). Ils peuvent également recevoir des personnes valides et dépendantes, parfois atteintes de maladies dégénératives ou de la maladie d’Alzheimer, et doivent justifier d’équipements et de professionnels adaptés en fonction du nombre de places disponibles. On distingue plusieurs types d’établissements. Les institutions publiques peuvent être autonomes (c’est-à-dire avoir leur propre budget) ou non, selon l’hôpital ou la collectivité territoriale. Les établissements privés à but non lucratif qui dépendent des mutuelles ou des groupes ou associations religieuses de par la loi. Les institutions privées commerciales à but lucratif qui dépendent d’un groupe spécifique de propriétaires ou d’actionnaires afin de générer des rendements pour les investisseurs.

Qu’est-ce qu’une convention tripartite qui est désormais obligatoire ?

Les maisons de retraite à Uccle doivent signer une convention pluriannuelle entre l’établissement, le conseil général et la Ddass (ministère de la Santé et de l’Action sociale). Ce dernier gère les crédits d’assurance maladie pour les soins en établissement et fait appliquer les nouvelles règles tarifaires introduites par la réforme (réforme tarifaire). Ces conventions sont assorties de conditions qui visent à améliorer la prise en charge des personnes âgées en établissement. L’accord permet aux résidents de bénéficier d’une bonne qualité de vie. Il doit définir les conditions de fonctionnement de l’établissement en termes financiers et en ce qui concerne la qualité du personnel et des soins dispensés. Il faut déterminer les objectifs de développement de l’établissement et leur mode d’évaluation. Sa durée de validité est de cinq ans, avec des révisions annuelles et un rapport annuel formel si nécessaire. Ces thèmes constituent la base des négociations de la convention : la qualité de vie des résidents : accessibilité, sécurité, hygiène, respect du rythme de vie, maintien des repères, participation aux activités fixées selon les souhaits de chacun, soins infirmiers adaptés à la santé des résidents, rénovation des espaces immobiliers, grands espaces privés, espaces collectifs organisés pour la vie, l’animation, les conférences, l’esthétique, le personnel médical et soignant ; la qualité des relations avec les résidents et les proches : information, mise en place de comités d’établissement, brochures d’accueil, contrats de séjour, règlement intérieur, possibilité de participation des familles à certaines activités ; qualité du personnel : développement des qualifications, plans de formation, soutien psychologique du personnel. Inscrivez-vous auprès de l’établissement du réseau gérontologique qui comprend les soins coordonnés. Toutes ces données doivent être intégrées dans les projets institutionnels, qui comprennent la formalisation des projets de vie et des projets infirmiers. Il est nécessaire d’obtenir l’accord des trois parties : l’Agence, le Conseil Général et la Ddass (Direction de l’Action Sanitaire et Sociale) avant de soumettre le projet de convention au CROSMS (Comité Régional des Sociétés Sociales et Médicales). En principe, toutes les maisons de retraite devraient avoir signé la convention tripartite. Mais à l’heure actuelle, il semble que seulement 30% d’entre elles l’aient effectivement fait. Or, la convention prévoit des moyens financiers supplémentaires pour améliorer la prise en charge des personnes âgées, et il appartient à la Ddass de contrôler la mise en œuvre effective du contenu de la convention. Il n’est pas certain que ce besoin financier accru soit satisfait dans un avenir proche.

Qu’est-ce que la tarification institutionnelle ?

La tarification institutionnelle est appelée ternaire. Le tarif journalier moyen » hébergement » prend en compte les frais d’hôtellerie et d’administration générale, les dépenses liées à l’embauche du personnel d’accueil, les animations sociales, l’entretien, la restauration et l’administration générale. Il existe des tarifs journaliers » soins » financés par l’assurance maladie sous forme de dotation globale, sauf pour les personnes non bénéficiaires de la Sécurité sociale : ces soins comprennent l’amortissement des dépenses liées aux services et fournitures médicales, aux frais de personnel et aux équipements médicaux. Les trois tarifs journaliers » dépendants » varient en fonction du niveau de dépendance et sont payés par les résidents qui peuvent bénéficier de l’APA. Les établissements médicaux autorisés à héberger des personnes dépendantes âgées de 60 ans et plus, quel que soit leur statut juridique ou leur dénomination actuelle, doivent se conformer à la réforme des maisons de retraite achevée par la loi et le décret. Ils doivent être autorisés à dispenser des soins dans la limite de leur capacité d’accueil. Il est donc nécessaire de normaliser l’autorisation des établissements actuellement déclarés non médicaux ou partiellement médicaux. Des programmes spéciaux ont été élaborés pour les petits établissements et ceux qui ont peu de personnes à charge.

L’hébergement est-il possible avec de faibles ressources ?

Le médecin coordonnateur est nommé par le directeur de l’établissement et est le garant de la meilleure prise en charge des personnes âgées. Il coordonne également les autres prestataires de soins extérieurs à l’établissement, sans être médecin résident. Il établit la continuité des soins, notamment le soir et le week-end. En outre, il évalue l’adéquation de l’état de santé des patients et de la prise en charge en établissement, élabore avec l’équipe médicale un plan de soins, les dossiers d’admission, les hospitalisations avec prise de médicaments, il établit un rapport de visite physique annuelle. Même les personnes dont les ressources sont insuffisantes peuvent aller dans une maison de retraite. L’examen des biens et des ressources propres de la personne âgée comprend les pensions et les revenus fixes, les biens pouvant être loués ou vendus, les divers investissements et les actifs financiers. Si les ressources sont insuffisantes, d’autres sources de financement sont nécessaires. Les enfants et les conjoints, mais pas les petits-enfants ni les collatéraux, sont tenus de contribuer aux prestations : leur niveau de participation dépend de leurs ressources. L’aide sociale n’est possible que dans les établissements agréés pour couvrir le déficit et conserver 10 % de ses propres ressources comme argent de poche pour les personnes âgées. Cette aide peut être récupérée au moment de la succession (y compris les donations de moins de dix ans).

S’informer à l’avance !

D’une part, le nombre de maisons de retraite est nettement insuffisant pour répondre aux besoins d’une population vieillissante. D’autre part, près de 80% des EHPAD sont en sous-effectif, 20% des lits doivent être rénovés et 5% des EHPAD sont fermés, comme le reconnaît le ministère des Personnes âgées. Il existe une structure de qualité, mais elle est insuffisante par rapport à la demande, et les coûts limitent les possibilités de bénéficier de bonnes pensions. Dans ce cas, il est nécessaire d’anticiper les coûts et financements possibles, ainsi que le délai pour choisir ce que l’on veut. N’hésitez pas à demander une visite de l’établissement, pour prendre connaissance du plan de soins et de vie, etc.

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